Prêt immobilier: quels sont les revenus pris en compte par les banques du Havre et Bolbec ?
Le montant maximum que vous pouvez emprunter auprès d'une banque pour acheter une maison dépend de votre salaire. Elle est plafonnée à un taux d'endettement fixé à 35% de vos revenus, assurance emprunteur comprise. Découvrez les gains pris en compte par les banques.
Le premier facteur à prendre en compte lorsqu'on se lance dans un projet immobilier est le montant maximum du prêt hypothécaire qui peut être demandé. Ce plafond dépend de divers facteurs :
le taux d'intérêt pratiqué par la banque et la durée de votre taux de crédit et d'endettement, calculé sur la base de vos salaires et charges nets.
Comment le montant d'un crédit est-il calculé ?
Le montant du crédit est calculé en tenant compte de vos revenus nets, qui doivent être stables (les contrats CDI sont le graal pour emprunter de l'argent), de vos charges et de vos apports personnels.
Si vous avez des frais, comme un prêt à la consommation, ils seront déduits de vos revenus et réduiront ainsi votre capacité à emprunter. Si vous avez d'autres revenus, la banque peut compter sur votre capacité de remboursement.
Quels sont les autres revenus pris en compte par la banque ?
Les banques ne se fient pas uniquement à votre nourriture pour déterminer votre capacité à emprunter :
il prend en compte votre loyer, si vous détenez un investissement locatif, votre bénéfice si vous exercez une autre activité ou votre pension sous certaines conditions.
Dans le cas des revenus locatifs, seuls 70% sont comptés. Dans le cas des allocations, l'âge de l'enfant sera requis pour inclure le montant de l'aide dans la capacité de prêt. En revanche, une pension alimentaire peut être prise en compte si un jugement a été rendu. Ainsi, tout ce revenu supplémentaire peut être ajouté pour déterminer combien vous pouvez emprunter et l'augmenter.
Quels sont les revenus qui ne sont pas pris en compte par la banque ?
Si vous êtes payé pour des heures supplémentaires, vous recevrez des indemnités de déplacement ou des primes spéciales, qui ne comptent pas nécessairement dans le paiement du crédit mensuel.
Revenus des emprunteurs : travailleur indépendant, en CDD, chômeur ou intérimaire ?
La situation peut se compliquer si le revenu n'est pas appelé revenu régulier. Le risque qu'une banque prend pour financer des portefeuilles de contrats à durée déterminée n'est pas le même que pour des portefeuilles de contrats à long terme ou dans une profession libérale. De ce fait, il est généralement plus difficile d'obtenir un prêt lorsque l'on est en CDD, et quasiment impossible lorsque l'on est au chômage ou en intérim. Lorsque vous êtes indépendant, pour que tous les revenus soient pris en compte, vous devez présenter les 3 derniers rapports d'activité à l'établissement bancaire requis.
Le saut de charges et le reste à vivre : deux éléments à ne pas négliger
Même si le salaire est suffisant pour emprunter, certains facteurs peuvent supprimer l'accès au crédit ou, au contraire, le faciliter. Il s'agit d'un cas de frais de saut ou de reste à vivre. Si le second concept est bien connu du grand public, le premier l'est moins. C'est la différence entre votre loyer actuel et les mensualités futures. Avec des frais qui montent en flèche, ce qui signifie que les frais post-prêt sont plus élevés après qu'avant le crédit, la banque peut penser que le risque est trop grand pour l'emprunteur et refuser la demande de prêt. La même logique s'applique au reste à vivre :
s'il est très élevé, il est plus facile d'obtenir un prêt hypothécaire et un bon taux d'intérêt.